dimanche 30 mars 2014

LE DEBLOCNOT AU DEUXIEME TOUR


Merci de lire le Best of hebdomadaire du Deblocnot qui vous permet de rattraper une semaine de chroniques. Étonnant qu'aucun analyste n'ait fait le rapprochement entre nos audiences du Dimanche et  les taux d'abstention élevés aux municipales.
- Chéri tu viens on va voter? 
- Je peux pas je lis le Deblocnot...

Et avec le programme de cette semaine ça va être pire, c'est autre chose que le programme de la liste "solidarité et développement" de votre bled, jugez plutôt :


Philou attaquait fort Lundi avec l'ouragan Van Halen qui arrache tout sur son passage avec un premier album dévastateur en l'an 1978. Pour l'occasion Philou avait ressorti son collant moule burnes à rayures à la David Lee Roth. Foxy et Elodie se sont évanouies en le voyant arriver...

Mardi Rockin est arrivé avec sa cape de superchroniqueur dans sa Rockinmobile pour nous parler d'un nouveau supergroupe, The Rides, avec Stephen Stills, Barry Golberg et Kenny Wayne Shepherd, pour un bel album entre blues/rock et rock californien à la Manassas ou Crosby Stills &Nash.

Mercredi Bruno est arrivé avec ses cordes, son piolet, ses sherpas. Faut dire qu'il s'attaquait à une montagne, ou plutôt à Mountain, une montagne de hard rock bluesy emmenée par  Felix Pappalardi et l'énorme (à tous les sens du terme) guitariste Leslie West. Du lourd, du velu... Il en a profité pour demander à Sonia si elle avait déjà vu le Yeti...

Velu, Pat ne l'était pas Jeudi, au contraire il s'était rasé la boule pour nous raconter le concert de Sinead O Connor au Zénith, ce qui lui a valu un passage par le bureau de la direction qui lui a fait remarquer que 24 ans pour écrire un compte rendu de concert, c'était un peu beaucoup. Il a promis d'être plus rapide à l'avenir...

Vendredi Luc s'était déguisé en pompier pour revoir Fahrenheit 451 de François Truffaut, adapté de Ray Bradbury. Un film de SF où les bouquins seraient interdits et brulés, un cauchemar pour Elodie et Foxy qui ont été achetées un extincteur au cas où...

Le Samedi c'est le jour de Claude Toon, qui a débarqué sapé en mandarin pour nous faire  voyager de Hongrie en Chine avec Bela Bartok et son second ballet Le mandarin merveilleux inspiré par un conte chinois. C'est si chaud que les ligues bien pensantes de l'époque lui feront bien des misères. En tous cas nous ça nous a permis de manger des rouleaux de Printemps et des nouilles chinoises à midi...

Voila, n'oubliez pas pour autant d'aller voter, comme le dirait Sonia, "avec ces présentes élections je ne sais plus où donner de la tête..."



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire