dimanche 18 janvier 2015

BEST OF d'une semaine plus calme




Une semaine tranquille, pas de cyber attaque djihadiste sur le Deblocnot, plus de 1000 sites attaqués et pas le notre, ça nous vexerait presque... Pas d'attaque non plus des fans de Christophe Maé ni des One Direction ; mais bon, si un jour vous voyez un article élogieux sur Christophe Maé, Kenji Chirac, André Rieu ou un truc du genre, c'est qu'on a été piraté, ou que c'est le 1er Avril....

Une semaine qui a commencé sous le signe du blues, la religion de Rockin, qui nous a d'abord emmené à Chicago, dans le club de Buddy Guy, écouter Ray Fuller et ses Bluesrockers, du pur Chicago blues, pas original mais entraînant et bien exécuté.

Rockin a voyagé toute la nuit. Dès mardi il était à... Bruxelles, pour nous faire découvrir l'harmoniciste chanteur Howlin'Bill qui a vraiment la frite, vainqueur de l'Européan blues challenge en 2011, notre ami belge s'impose comme un des leaders du blues européen et teinte sa musique de Rock'n'roll, de country ou de blues rock, à découvrir vraiment.

Paul Rodgers n'est plus à  découvrir, on le connait depuis les grands groupes des 70's où il a chanté comme Free ou Bad Company, c'est indiscutablement une des grands voix du rock et un grand amateur de blues et de soul. Il le prouve en rendant ici hommage de belle manière aux Otis Redding, Albert King, Isaac Hayes.

Jeudi Pat s'est plongé dans la chaleur de la nuit pour retracer la carrière de Pat Benatar , qui a connu le succès et le haut des hits parade dans les années 80, une rockeuse alliant charme et rock pêchu, il n'y en pas tant que ça.

Vendredi Luc n'est pas allé au ciné, il avait terminé ses tickets fournis par le CE. A la place, il a lu un bouquin, Les résidents de Maurice G Dantec, ensuite il a carburé au Doliprane toute la soirée, faut dire qu'il semble un peu confus ce bouquin, où on croise l'extra terrsestre de Roswell, des tueurs en serie, la CIA...

Samedi, Claude a enchanté les mélomanes de touts bords avec les énergiques concertos pour violoncelle de Carl Philipp Emanuel Bach, fils aîné de Jean-Sébastien, un classique et non pas un baroque. Une subtilité détaillée dans la chronique à l'intention de Sonia du coup un peu perdue. Et puis le disque d'Ophélie Gaillard illustre à merveille notre besoin de musique guillerette du moment...

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